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Merde ! Ma casserole a encore débordé pendant la cuisson des pâtes ! Rebelote quand je fais bouillir le lait, il faut garder le bon œil ouvert (lequel déjà ?) sinon adios ma préparation culinaire ! Pourtant, il existe une astuce simple et efficace pour que l’eau ou le lait ne déborde pas de la casserole. Il suffit de placer une cuillère en bois sur le dessus de la casserole sans couvercle. Comme le montre l’image ci-dessous, la mousse va se former, gargouiller autour et rester bien sage sans déborder. Pourquoi ? Aôw !
Une prise de conscience a beau se développer en Occident sur la surconsommation de viande, l’agro-industrie n’en met pas moins en place des fermes de mille vaches : il serait ainsi opportun de penser à diversifier nos sources de protéines
A new model of language evolution assumes that changes in the spatial boundaries between dialects are controlled by a surface tension effect.
La vie sur Terre se concentre sur une fine pellicule qui enveloppe la planète. Pour comprendre cette zone complexe dite "critique", les chercheurs installent des instruments dernier cri partout dans le monde. Visite d'un de ces observatoires de l'environnement dans l'Est de la France...
The U of U was a powerhouse of computer graphics research then, and Newell had some novel ideas for algorithms that could realistically display 3D shapes—rendering complex effects like shadows, reflective textures, or rotations that reveal obscured surfaces. But, to his chagrin, he struggled to find a digitized object worthy of his methods. Objects that were typically used for simulating reflections, like a chess pawn, a donut, and an urn, were too simple.
Découverte au Pakistan en 1985, l’amulette de Mehrgarh, âgée de 6000 ans, est longtemps restée une énigme. Grâce à de nouvelles techniques d'analyse, une équipe de chercheurs a réussi à percer les secrets de fabrication de cette amulette en cuivre, le premier objet connu façonné à la cire perdue – une technique à l’origine de la fonderie d’art.
L’anthropologie biologique est la science qui se préoccupe de l’origine et de l’évolution de notre espèce, Homo sapiens. Celle-ci se caractérise par une grande diversité, et les variations de la taille s’affichent comme une des différences les plus spectaculaires. On rencontre ainsi en Afrique sèche des peuples de très haute stature, et dans la forêt équatoriale, des populations réunies sous le nom de Pygmées, dont la taille varie chez les hommes de 1m48 à 1m58 selon les groupes : soit la plus petite taille de toute l’humanité.
Des chercheurs français et chinois ont mis au point une méthode inédite pour faire la lumière sur les pratiques de couvaison de certains dinosaures. Ils ont ainsi démontré que les oviraptorosaures – ces dinosaures longtemps considérés comme des voleurs d’œufs, étaient en réalité des mères couveuses. Ces résultats sont publiés aujourd'hui dans la revue «Palaeontology».
Le chat domestique actuel est un lointain descendant du chat sauvage présent au Proche-Orient au début du Néolithique. Des chercheurs de l’Institut Jacques-Monod retracent pour la première fois son parcours et montrent comment le félin a accompagné des populations d’agriculteurs depuis le Croissant fertile jusqu’à l’Europe.
L’observation est fascinante : une planaire ayant séjourné à bord de la station spatiale internationale (ISS) est revenue sur Terre avec deux têtes. Elle est la seule d’un groupe de quinze vers plats à présenter cette morphologie étonnante. Ces derniers avaient été décapités avant d’être embarqués à bord d’une fusée qui devait rejoindre l’ISS. L’objectif de ces expériences était de déterminer si un séjour dans l’espace pouvait affecter leur régénération. Autrement dit, si la microgravité ou le faible champ géomagnétique pouvait avoir un effet sur les planaires qui possèdent l’extraordinaire capacité de régénérer n’importe quelle partie endommagée de leur corps.
ears ago when I was conducting my doctoral research on the evolutionary history of men among a remote indigenous community of hunter-gatherers living in the forests of South America, I came across a man donning a well-worn baseball cap likely donated by missionaries. The cap read, “There are three stages to a man’s life: Stud, Dud, Thud.” Indeed. It is somewhat sobering to see one’s life’s research summarized on a piece of headwear that can probably be found for a few dollars at a roadside truck stop. But such is the elegance of interesting science.
Le fossé éthique séparant la Chine de l'Occident, en matière notamment de recherche sur les embryons humains et d'expérimentation animale, est un bon indicateur de l'inanité de nos normes censément universelles.
Le récent décret du président Trump n’a fait que confirmer les craintes des scientifiques et de la société civile sur sa politique climatique. Son investiture avait d’ailleurs suscité de vives réactions, qui ont notamment pris corps à travers l’organisation d’une Marche pour la science, prévue le 22 avril un peu partout dans le monde, y compris en France.
Quand j’ai lu ce titre dans la rubrique science du Telegraph, j’avoue que j’ai sauté sur place de stupeur : « Europe was the birthplace of mankind, not Africa, scientists find« . Vraiment vrai ? Ou l’accroche passe avant l’honnêteté scientifique ?
L’ETUDE est intitulée « Le pénis conceptuel en tant que construction sociale » et, étant donné qu’il ne signifie pas grand chose, son seul titre aurait dû alerter les responsables de Cogent Social Sciences, la revue qui l’a publiée le 19 mai. Pourquoi ? Parce que cet article n’est qu’un grossier canular, ainsi que l’ont révélé non sans une certaine jubilation ses deux auteurs, les Américains Peter Boghossian et James Lindsay, dans le magazine Skeptic. Le premier est professeur de philosophie à l’université d’Etat de Portland (Oregon), et le second, doté d’un doctorat en mathématiques, s’est tourné vers l’écriture de livres. Pour leur étude bidon, ils ont respectivement pris les pseudonymes de Peter Boyle et de Jamie Lindsay, et se sont présentés comme des chercheurs du Groupe indépendant de recherche sociale du Sud-Est, à Knoxville (Tennessee), un organisme scientifique entièrement fictif !
Pour quelles raisons tombons-nous plus souvent malade lors de périodes de stress intense ? C'est l’une des questions ciblées par la neuro-immunologie, qui étudie les interactions entre système nerveux et système immunitaire. Une discipline récente mais déjà porteuse de grands espoirs thérapeutiques, comme nous l’expliquent Jean-Philippe Herbeuval et Nikaïa Smith.
SERGIO CANAVERO a de la suite dans les idées. Depuis une étude fracassante publiée en 2013, dont j’avais rendu compte dans « Passeur de sciences », ce neurologue italien s’est fait le champion d’un projet fou : greffer une tête d’humain.
L’ascidie, ce curieux petit invertébré marin en forme d’outre, a la faculté de renouveler ses tissus très rapidement après de graves lésions. L’étude de ce mécanisme biologique, encore rare, pourrait se révéler précieuse pour la médecine régénérative.
Le monde du vivant recèle encore des territoires largement inexplorés, que les avancées technologiques récentes vont peut-être permettre de découvrir. Alors que paraît aujourd’hui «Étonnant vivant», livre blanc sur les sciences du vivant au XXIe siècle, Catherine Jessus, directrice de l’Institut des sciences biologiques du CNRS, trace un panorama de ces pistes prometteuses.
A drug derived from an Easter Island bacterium extends the life of lab animals. People could be next.