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Ces découvertes ont fait l’objet d’une conférence diffusée sur les réseaux sociaux de l’agence spatiale jeudi soir.
The red planet once wasn’t so different from Earth. Here’s what happened.
New findings from NASA's Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) provide the strongest evidence yet that liquid water flows intermittently on present-day Mars.
Preliminary analysis suggests that the lander began the manoeuvre flawlessly, braking against the planet’s atmosphere and deploying its parachute. But at 4 minutes and 41 seconds into an almost 6-minute fall, something went wrong. The lander’s heat shield and parachute ejected ahead of time, says Vago. Then thrusters, designed to decelerate the craft for 30 seconds until it was metres off the ground, engaged for only around 3 seconds before they were commanded to switch off, because the lander's computer thought it was on the ground.
L’Agence spatiale européenne confirme que l’engin s’est écrasé sur la Planète rouge, mercredi 19 octobre. L’impact a été photographié par une sonde de la NASA.
Astronauts making a years-long voyage to Mars may get bombarded with enough cosmic radiation to seriously damage their brains, researchers reported Monday.
Voici à quoi ressemblerait Mars si on y mettait de l'eau.
La vision de SpaceX pour la colonisation de Mars.
We combed through the camera's latest update to find some of the most beautiful pictures. Scientists haven't had a chance to dig their teeth into them yet — but when they do, who knows what incredible discoveries they'll make.
On July 20, 1976, at 8:12 a.m. EDT, NASA received the signal that the Viking Lander 1 successfully reached the Martian surface. This major milestone represented the first time the United States successfully landed a vehicle on the surface of Mars, collecting an overwhelming amount of data that would soon be used in future NASA missions. Upon touchdown, Viking 1 took its first picture of the dusty and rocky surface and relayed the historic image back to Earthlings eagerly awaiting its arrival. Viking 1, and later Viking Orbiter 2, collected an abundance of high-resolution imagery and scientific data, blazing a trail that will one day take humans to Mars.
Il y a quarante ans, le 20 juillet 1976, l’atterrisseur de la mission américaine Viking-1 se posait en douceur sur le site martien de Chryse Planitia. Pour les Etats-Unis, c’était une première (les Soviétiques avaient réussi le même exploit en 1971 avec Mars-3 mais l’engin n’avait fonctionné que 20 secondes…). Surtout, grâce au programme Viking, les humains découvraient les paysages martiens, des déserts caillouteux sous un ciel hésitant entre l’orange et le sépia. Quelques semaines plus tard, Viking-2 posait ses pieds sur le site d’Utopia Planitia. Fixes, les deux atterrisseurs avaient pour mission principale de détecter une éventuelle présence de vie dans le sol martien, tandis que, dans le ciel, leurs orbiteurs cartographiaient la planète Rouge.
Had you searched the sky with a telescope just a few hundred thousand years ago, you would have struggled to find a red planet. Instead, you would have seen a gleaming-white ice ball where Mars should be. A team of astronomers led by Isaac Smith, an astrophysicist at the Southwest Research Institute in Boulder, Colorado, has collected the first concrete evidence that Mars has just exited an extreme ice age, one so intense it would have put Earth's recent frosty foray to shame.
Comme l'explique Vickie Kloeris, nutritionniste à la NASA, "Si vous deviez envoyer un végan ou un astronaute ne tolérant pas le gluten ou le lactose, il faudrait faire d'énormes aménagements spéciaux pour cette personne. Cela coûterait beaucoup d'argent supplémentaire". Quand on sait que les budgets des missions spatiales sont plus serrés qu'un expresso italien, on imagine déjà la décision de la NASA...
Phobos va disparaître. Ce n'est pas pour tout de suite, mais le destin de la petite lune martienne est d'ores et déjà fixé
Aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, on va parler un peu de science fiction. Ouiiii je sais ce n’est pas l’objectif du blog, on est supposé parler de ce qui existe sur Terre et pas de ce qui pourrait exister dans l’espace.
Apres Maven, c’est au tour de la sonde indienne, Mars Orbiter Mission, de se placer en orbite autour de la Planète rouge. Également lancée en novembre 2013, cette sonde entrera en orbite martienne demain, après un voyage de 300 jours et quelque 680 millions de kilomètres parcourus.
Plutôt que d’investir temps et argent dans le développement, la construction et le lancement d’un système de communication à un ou plusieurs satellites pour la prochaine décennie, la Nasa pourrait faire appel au privé et se contenter de devenir un simple consommateur des liaisons entre la Terre et Mars.
C’est le dénouement d’une affaire qui aura fait grand bruit sur le web. Le fameux caillou subitement « apparu » sur le chemin de la sonde Mars Opportunity alors qu’elle revenait sur ses pas douze jours après son premier passage n’a donc rien d’extraordinaire. Selon la NASA, il s’agit tout simplement d’un fragment de roche que le rover, en roulant dessus, a projeté sur le bas-côté. Un nouveau cliché réalisé par le robot martien montre la roche fracturée au passage des chenilles d’Opportunity. Finies les hypothèses fantasques de champignon martien.
Tout au plus présente-t-elle à sa surface claire une érosion rouge sombre originale, sans que les géologues puissent pour autant déterminer si cette trace d’érosion est ancienne ou récente. Mais rien de bien passionnant pour les scientifiques du programme, qui ont définitivement éloigné la sonde du site. Silence radio du côté de Rhawn Joseph, le neuropsychologue ayant déposé plainte pour obliger la NASA à analyser convenablement ce « spécimen biologique ». Mais comme le dirait Mulder, la vérité est forcément ailleurs.
Dans six publications scientifiques, les chercheurs travaillant sur la mission MSL, celle de Curiosity, affinent le portrait de la planète Mars. Fait marquant : au fond du cratère Gale, où se trouve le rover, se situait il y a environ trois milliards d'années un petit lac d'eau douce. Pendant une durée inconnue — tout est là —, les conditions en surface ont été compatibles avec la vie.
Billions of years ago when the Red Planet was young, it appears to have had a thick atmosphere that was warm enough to support oceans of liquid water - a critical ingredient for life. The animation shows how the surface of Mars might have appeared during this ancient clement period, beginning with a flyover of a Martian lake. The artist's concept is based on evidence that Mars was once very different. Rapidly moving clouds suggest the passage of time, and the shift from a warm and wet to a cold and dry climate is shown as the animation progresses. The lakes dry up, while the atmosphere gradually transitions from Earthlike blue skies to the dusty pink and tan hues seen on Mars today.
his video is public domain and can be downloaded at: http://svs.gsfc.nasa.gov/goto?20201